- Mary, il faut que tu te lèves, ma puce.
- Encore une heure, s'il te plaît.
- Il faut que tu te lèves. Becky et Sollène ont besoin de toi et de deux cahiers.
- Elles ont qu'à venir les chercher ! Murmurais-je, en me rendormant.
Quelques heures plus tard, j'entendis des murmures et des chuchotis, provenant du couloir. Avec douceur, je me levais, repoussais les couvertures avant d'aller ouvrir la porte et de découvrir mes amis, assis par terre, bavardant doucement pour ne pas me réveiller. Ce fut Andreas qui me vit le premier, au bout d'une dizaine de minutes.
- Bonsoir, Mary ! Me salua mon ami.
- Bonsoir tout le monde ! Déclarais-je.
- Tu as bien dormie ? Me demanda Gustav.
- Oui. Mais je peux savoir quelle heure il est ?
- Vingt deux heures trente, me répondit Sollène. Est-ce que je peux aller me coucher ?
Je hochais la tête avant de m'installer sur les genoux de Bill.
- On est le combien ? Demandais-je, en mettant ma tête contre l'épaule de mon ami.
- On est le vingt sept octobre, me répondit Soline, en se levant. Bonne nuit tout le monde !
Je bavardais avec mes amis qui, petit à petit, partaient dormir. Lorsque nous fûmes seuls, je me collais contre le torse de mon ami, et je l'écoutais bavarder.
- Mary, je dois te dire quelque chose.
- Vas-y, je t'écoute.
- Je dois partir demain pour une durée indéterminée.
- Tu pars à quelle heure ?
- Je dois être à l'aéroport d'ici trois heures. Je vais faire tout ce qui est possible pour revenir ici dans une semaine.
- Tu vas me manqué, chuchotais-je.
- Toi aussi, mon ange. Mais j'ai quelques affaires à régler.
- Tu m'aimes ? Murmurais-je.
- Si t'aimer était ma vie alors je serais déjà mort.
- Ne racontes pas d'idioties dans ce genre, s'il te plait, le rabrouais-je.
- Excuse-moi, mon amour. Je t'aime tellement.
- Moi aussi, je t'aime.
J'esquissais un sourire contrit avant d'embrasser tendrement mon amant. Plus personne n'était présent lorsque je me relevais pour aller me coucher. Bill m'enlaça amoureusement avant de me déposer un léger et chaste baiser sur les lèvres. Avant que je n'aie le temps de l'embrasser, mon amant desserrait notre étreinte et s'enfuyait dans les étages inférieurs. Je reniflais avant d'entrer dans ma chambre et de me laisser choir sur mon lit avant d'éclater en sanglot. Solin et Becky, qui – malheureusement – ne dormaient pas, se levèrent et vinrent me consoler, m'enlaçant et en me chuchotant des paroles réconfortantes.
- Vous devriez aller vous recoucher, ça va aller ! Chuchotais-je.
Mes amies me déposèrent de longs baisers sur les jours avant de se faufiler dans leurs lits. Je me tournais et fit face à la lune dont le croissant éclairait la chambre, doucement. Des larmes coulèrent sur mes joues avant que je ne sombre dans un sommeil réparateur. Le lendemain matin, je me réveillais à une heure tardive et ne voyant nullement mes amies, j'en déduisis que Soline, Sollène et Becky étaient parties faire des recherches à la bibliothèque. Alors que je me changeais rapidement et que je prenais une douche, j'entendis la porte de la chambre s'ouvrir avant de se refermer. Terminant d'enfiler mon pull, j'ouvris la porte de la salle de bain qui donnait sur la chambre et je fus surprise de voir Becky, assise sur son lit, attendant – certainement – ma sortie de la salle d'eau pour me parler.
- Bonjour, Mary ! Me souria mon amie. Tu as bien dormie ?
- Oui, et toi ? Répondis-je.
- Très bien, merci.
- Vous avez trouvé de nouveaux indices ? L'interrogeais-je, en prenant mes deux cahiers que j'enfouissais immédiatement dans un sac.
- Pas encore. Mais Soline a peut-être une piste.
- Bien, je vous rejoints, répondis-je, en mettant mon ordinateur portable dans ma sacoche.
- On t'attend, répondit Becky, dans un murmure.
Je lui adressais un sourire avant de détourner mon regard vers la fenêtre. Des larmes coulèrent silencieusement sur mes jours, brouillant ainsi le paysage que me donnait le parc du pensionnat. Une dizaine de minutes plus tard, je séchais mes larmes puis je m'en allais à la bibliothèque, pour aider mes amies et renforcer nos trouvailles, nos recherches ainsi que nos indices que nous récoltions au fur et à mesure de nos informations trouvées. Je poussais un soupir alors que je repoussais la porte de la bibliothèque. Soline, Sollène et Becky avaient eues l'autorisation d'accoler trois tables côte à côte, qui disparaissaient sous des piles immenses de livres, de feuilles laissant ainsi une mince place pour nos ordinateurs portables et nos cahiers pour y inscrire nos trouvailles.
- Mary, j'ai trouvé un livre qui pourrait te plaire, déclara Soline. La piste a été concrétisée lorsque j'ai lu un passage dans un manuel de magie noire que j'ai trouvée dans les archives interdites.
- Montre-le-moi, s'il te plaît, murmurais-je à l'intention de mon amie.
Cette dernière me le tendit avant de se plonger dans un ouvrage regorgeant de magie noire et de légendes pittoresques tandis que Becky était en train de faire des recherches sur les multiples meurtriers qui avaient sévis en Irlande mais surtout dans la contrée du pensionnat Canterbury. Le passage que Soline m'avait indiqué recelait d'informations de moyenne importance et quelques-unes ne me furent d'aucune aide, tellement les écrits étaient vagues. Je poussais un soupir avant de mettre sur un moteur de recherche et de taper les mots clés pour mes études. Plusieurs heures passèrent avant que nos recherches ne se concrétisent absolument. Ce fut une remarque de Sollène – qui nous avait rejointes – qui nous révéla, ce dont nous nous n'étions pas embarrassées.
- Je ne sais pas si vous avez vu mais « trois filles ont été tuées il y a deux cents ans dans le pensionnat Canterbury, à une vingtaine de kilomètre à l'oust de la capitale irlandaise. Cinq décennies plus tard, ce fut quatre jeunes filles qui furent retrouvées assassinées, baignant dans leur sang. Cinquante ans plus tard, cinq jeunes filles moururent. L'hécatombe dure depuis la création de ce pensionnat irlandais ». A votre avis, pourquoi ce journal relate ces faits, ces meurtres ? Nous interrogea notre amie.
- Le quotidien a été distribué dans les alentours ? Demanda Becky.
- Non. Le rédacteur en chef a refusé d'éditer l'article. Le journaliste a été renvoyé et l'article a paru dans son curriculum vitae, nous apprit Sollène, en refermant l'ouvrage.
- Ne le pose pas dans la pile, je vais le prendre pour l'étudier, avançais-je.
- D'accord. Il est quelle heure ?
- Quatorze heures, répondit Soline. On va déjeuner ?
- Je n'ai pas très faim, murmurais-je, en reprenant le fil de mes études.
- Tu es sûre ? M'interrogea Becky.
- Oui, sûre et certaine.
- Tu veux qu'on te ramène quelque chose ?
- Non, ça ira ! Merci quand même !
- De rien.
Je regardais mes amies s'en aller, m'adressant un sourire d'encouragement avant de sortir de la bibliothèque et de se diriger vers la cafétéria. J'esquissais un sourire contrit avant de me replonger dans mes approfondissements et d'activer des énigmes et des réponses multiples. Je ne cessais mes observations qu'à la fermeture – à vingt trois heures – de la bibliothèque, puis je montais dans ma chambre, dans l'espoir de montrer mes découvertes à mes amies ainsi que de bavarder avec elles des secrets dévoilés. En entrant dans la chambre, je fus interloquée de trouvais Lucie, assise sur son lit, tapotant sur les touches de son ordinateur portable et bavardait tranquillement avec mes camarades de chambre.
- Lucie ? Qu'est ce que tu fais là ?
- Mes parents n'avaient plus besoin de moi.
- Ça me fait plaisir que tu sois là !
- Moi aussi, je suis ravie d'être là, être entourée de vous toutes et de pouvoir blaguer. Et surtout de pouvoir élucider ce mystère, disculper des meurtriers innocents, de cesser tous ces meurtres et de trouver le meurtrier, répondit Lucie, en m'enlaçant fraternellement avant de retourner à son ordinateur portable et de terminer ses recherches.
Un léger sourire se dessina sur mes lèvres avant que je ne détourne la tête et que je pousse un soupir. Je fermis les paupières et je soufflais, cherchant à trouver une phrase d'introduction pour dévoiler les découvertes que j'avais faites, au fil de mes heures perdues et recherches intensives.
- Je... Je crois que j'ai trouvé la raison pour laquelle le meurtrier commet tous ces assassinats.
- En l'occurrence, il n'y en a eut que deux, ria Becky.
- Oui, mais vous avez – enfin entendu – ce que je vous ais lu ce matin, à la bibliothèque. Depuis l'ouverture du pensionnat, il y a deux cents ans, il y a douze adolescentes qui sont mortes et on a jamais – enfin, je parle de Scotland Yard – n'a jamais retrouvé l'assassin présumé des trois jeunes filles, il y a deux cents ans, résuma Sollène, alors que Lucie écarquillait les yeux au fil du récit.
- J'ai ramené le livre dans lequel tu as trouvé l'article, avança Becky, en sortant le manuel de son sac.
- Bon ! Est-ce que Mary peut nous annoncer sa nouvelle ? Demanda Soline, qui – visiblement – commençait à s'impatienter.
- Euh, oui, désolée Mary, s'excusa Sollène.
- Ce n'est pas grave, souriais-je. Très bien, je pense que le meurtrier agirait pour avoir ses faits et ses assassinats dans le journal de la région. Mais ce n'est qu'une simple spéculation, rappelais-je, en me laissant tomber sur mon lit.
- Au fait, je sais que je change complètement de sujet, mais vous saviez que le pensionnat organisait une fête pour Halloween ? Nous interrogea Lucie.
- Tu sais, ces temps-ci on n'a pas eut le temps d'aller regarder sur le tableau d'affichage, répondit Becky, en se faufilant dans la salle de bain.
- Mais toi, tu l'as sut comment ? Lui demanda Soline.
- Ma mère m'a envoyé un mail pendant que j'étais dans le ferry. Elle m'informait que je pouvais rester au pensionnat et elle m'a souhaitée de passer une bonne soirée d'Halloween.
- Je pense que pour Becky et Sollène tout ira bien, déclarais-je.
- Et pour moi aussi, ajouta Soline. Johan m'a invitée à y aller.
- Moi, j'irais certainement pour décompresser, répondit Lucie. Et toi, Mary ?
- Je ne pense pas y aller, je n'aime pas trop ce genre de festivités.
- D'accord !
- Bon, est qu'on peut dormir ? Demanda Sollène, qui avait la tête cachée sous sa couverture.
- On y va, Sollène.
Lucie partit se changer dans la salle de bain avant de venir se coucher ; Soline prit la place tandis que Becky se brossait les cheveux et que moi j'éteignais les ordinateurs portables et que je posais mes deux épais carnets sur mon lit avant de me faufiler dans la salle de bain et d'enfiler mon pyjama. En retournant dans la chambre, je fus surprise de voir que mes amies dormaient profondément. Je m'étirais avant de m'asseoir dans mon lit et de les feuilleter longuement – m'arrêtant à plusieurs reprises – avant de m'endormir, en écoutant les bruits nocturnes et le souffle du vent dans les branchages. Malheureusement, je fus réveillée quelques instants plus tard par une personne qui ne cessait de toquer à la porte et ce fut avec difficulté que j'ouvris la porte avant de me faufiler par l'entrebâillement. Je fus stupéfaite de trouver Tom, le souffle court et les joues rouges.
- Tom, mais qu'est ce qu'il y a ?
- Tu n'as pas vue Alexandra ?
- Euh... Non, désolée. Mais pourquoi me demandes-tu ça ?
- Je devais la retrouver dans le parc mais elle n'y est pas. Et pourtant, j'ai cherché.
- Tu veux que je vienne avec toi ?
- Ça ne te dérange pas ?
- Bien sûr que non.
En recherchant dans le pensionnat, Tom m'apprit beaucoup de choses sur lui et sur son frère. Alors que nous allions rentrés dans nos chambres respectives, nous vîmes de la lumière diffuse provenant des salles de bals. Fronçant les sourcils, je demandais à Tom – qui tout en m'écoutant, tenter d'abdiquer à mes propos – d'aller chercher nos camarades et de me rejoindre dans les salles de bals. M'étouffant de colère contenue, je lançais un regard furibond à mon camarade, qui courut chercher nos amis. Lorsque je fus certaine que Tom avait disparut dans les escaliers, je courus jusqu'aux immenses pièces, m'activant vivement sur la provenance du faisceau de lumière que, Tom et moi, avions remarqué, montrant ainsi l'existence de vie dans les méandres ténébreux et obscurs de cet étrange pensionnat dans lequel je me trouvais. Je fouillais le rez-de-chaussée et les étages supérieurs de la bibliothèque avec beaucoup de conviction, m'interdisant de songer à la découverte d'un cadavre – si j'en trouvais un. Ce fut avec beaucoup moins de certitude et de persévérance que je fouillais dans les salles de bals. Les première et seconde salles ne recelaient d'aucun meurtre ou un quelconque secret. Ce fut avec dépit que j'entrais dans la troisième salle. Ce fut avec effarement que je découvris le corps d'une adolescente aux cheveux blonds dont le corps ensanglanté reposé sur un pentacle. Je concentrais, au maximum, mes pouvoirs psychiques – qui provenaient de mon ascendance vampirique – aux pouvoirs mentaux et animaux des elfes. Malheureusement, l'expertise médico-fantastique échoua lamentablement, faisant ressortir le blanc cadavérique du corps et du pentacle. Une lumière éclaira la pièce avant de consumer le pentacle et de me laisser pantelante, épuisée par ce haut niveau de magie noire. Je ne comprenais nullement le sort que le meurtrier avait put lancer sur le corps. M'accroupissant péniblement, je vérifiais qu'aucun sortilège maléfique ne m'ait touché avant de me relever et d'inspecter le corps qui avait très faiblement embrasé. J'inspectais le pentacle, fronçant les sourcils puis j'inspectais le corps et la salle de bal.
- Bien puisque mes pouvoirs, censés être médico-fantastique, ne marchent pas et que ce pentacle me semble provenir d'une famille ancestrale, il faudra que je m'applique à résoudre ces problèmes...
- Mary, tu n'as rien ? M'interrogea Lucie, en se jetant dans mes bras.
- Tout va bien. Mais est-ce que vous pourriez partir ?
- Euh... Oui.
Je les poussais jusqu'à la porte avant d'instaurer une barrière magique et de me préoccuper du corps inanimé et brûlé. Par un sort de lévitation, je fis léviter le corps et j'inspectais la jeune fille avant de me rendre compte que ce n'était plus la peine de la ressusciter.
- Mary, apprends à renforcer tes sortilèges de défenses, déclara une voix féminine.
- Stella, je ne suis pas aussi forte que Solana.
- Mais tu fais des progrès ! Kraken a tué trois vampires.
- Mais je croyais qu'il était emprisonné ?
- Non, des soldats de la Milice Démoniaque l'ont aidé à s'enfuir.
- Merci Stella de m'avertir.
- De rien ! Excuse-moi de t'abandonner ainsi mais je dois rentrer au manoir.
- Au revoir, Stella.
- Au revoir.
La vampire me fit un dernier sourire avant de se téléporter. Il me fallait, dors et déjà, retrouver la trace de Kraken pour lui soutirer des informations sur les récents meurtres. En sortant de la salle de bal, je sentis une impitoyable odeur, qui me fit aussitôt penser à Kraken. Son odeur de poison se faisait sentir par des personnes telles que mes amis ou moi. En sortant du bâtiment, je vis une ombre se pressait autour de moi.
- Kraken ?
Un bruissement, provenant des buissons, me fit tourner la tête. Devant moi, se tenait cet homme au regard glacial et acéré. Je brandissais mon sabre, me protégeant ainsi de toutes sortes de sortilèges et des animaux affamés.
- Comme on se retrouve, Mary ! Déclara une voix féminine.
- Winra ?
- C'est un grand plaisir que de te revoir, ma chère Mary.
- Eh bien, tant mieux pour toi ! Répliquais-je, acide.
Ne m'y attendant nullement, je vis Kraken brandir un poignard et se dirigeait vers moi, une lueur démentielle dans ses yeux glaciaux. Je me retournais avec la rapidité féline d'un vampire avant d'enfoncer ma dague ma dague dans le ventre de mon assaillant. Trouvant l'agonie immonde, dans laquelle gisait à présent Kraken, j'assénais un coup de sabre dans son cou, faisant jaillir du sang de la jugulaire béante et ensanglantée. Je me tournais vers Winra, qui était interdite devant ce spectacle macabre. Se rendant compte de mon observation, ma rivale m'évalua du regard avant de brandir une dague et un revolver de moyen calibre. J'étouffais un rire cynique et je parais chaque coup et chaque tir avec beaucoup de vivacité. Ne tenant plus, Winra tira à bout portant. Par bonheur, j'eus le temps d'esquiver les balles et donner un coup fatal. Ma rivale tomba à terre, le visage défiguré et le sang coulant à flot d'une béante ouverture que je venais d'effectuer dans toute la longueur de son buste. Le souffle court, je retirais avec vigueur la lame de mon sabre, avant de détourner le regard des corps ensanglantés. Abandonnant les cadavres, je me dirigeais vers ma chambre, tremblant de peur et de froid, et tentant de me convaincre que le combat avait été basée sur de la légitime défense. En entrant dans ma chambre, mon souffle était faible et saccadé. Je me laissais tombée sur mon lit, tremblotante et le regard fixe. Je vis Lucie et Soline se penchaient sur moi tandis que Sollène et Becky se regardaient, les sourcils froncés. Des larmes coulaient silencieusement sur mes joues alors que je me retournais pour éviter les regards interrogateurs de mes amies, qui s'installèrent sur leurs lits avant de chuchoter entre elles, croyant que je dormais. Quelques instants plus tard, j'entendis le cliquetis de la lampe principale et le grincement des sommiers des lits de mes amies. Je me relevais et j'allumais mon ordinateur portable avant de prendre l'un de mes multiples cahiers. Il fallait que je note tous ces évènements et le meurtre d'Alexandra Verdier avant d'en parler à mes amies. Alors que je m'éloignais de mon lit, j'entendis un petit bip caractéristique, m'avertissant que je venais de recevoir un mail. Je m'installais dans le couloir et j'ouvris ma boîte e-mail. J'avais reçue plusieurs mails d'amis, que je n'avais pas vus depuis longtemps, et quelques mails de mes parents ainsi que de ma petite s½ur. Alors que je répondais à un message, une nouvelle fenêtre s'ouvrit. Un sourire éclaira mon visage au fil de la lecture du mail. Les mots, concluant la lettre électronique me firent sourire et j'éclatais d'un petit rire étranglé.
Chocolate-Sun-R0ck, Posté le mardi 02 septembre 2008 13:29
merci pour t'es com